Le Surimpressionnisme / Surimpressionism
Le Surimpressionnisme proposé par Christophe Fouquet-Sparta ,photographe plasticien s'inscrit dans l'Histoire de la philosophie de l'Art le 5 juin 1997 paru dans l'article de presse du journal "L'Union L'Ardennais" à Villers-Cotterêts, au travers une réflexion sur notre esprit d'analyse des raisons pour lesquelles nous nous étonnons du monde qui nous entoure.
La collection photographique de Fouquet-Sparta comme étant "précurseur d'un genre nouveau dans le domaine de la photographie, avec "Le Surimpressionnisme" mouvement qui se caractérise comme un art pictural innovant, un style de communication moderne, et à contrario une technique de réalisation traditionnelle, le négatif étant dès l'origine, lors des prises de vue, réalisées en Surimpression
C'est une prise d'images par surimpression, qui s'inspire du mouvement pictural Impressionniste, en s"appropriant à la fois le réalisme et le surréalisme.
Le Surimpressionnisme prend sa source dans les mouvements picturaux modernes et converge en un courant singulier.
Le développement d’un mouvement artistique photographique tel que le Surimpressionnisme est dans la continuité actuelle de l'impressionnisme. C’est élever la photographie dans le champ pictural, en terme de composition de plusieurs « surimpressions ».
Cet art photographique, très visuel, et communicant, est exploitable de façon créative. C’est une fenêtre artistique dans le cadre de projets de communication affichant leur singularité, leur modernité.
La réalisation est celle d’une composition de clichés, créant du mouvement et du symbolisme, transformant le regard sur la réalité.
Lors de la prise de vue, il travaille à imprimer sur la même image deux ou plusieurs instants, pour composer une nouvelle image signifiante. En tant qu’artiste, il s’étonne et s'imprègne du monde qui l'entoure, saisit les influences. Il s'inspire de la mobilité des phénomènes et des impressions.
Il travaille également sur le réflex et la particularité de l'instant, en y associant tout élément qui peut donner de la force à l'image photographique. Le négatif photographique dépend de la sensibilité du photographe, et de sa réactivité aux événements.
La surimpression est réalisée à la prise de vue, dans l'action. Les compositions photographique appellent l’idée de fusion, et de transparences.
La technique reste très classique. L'artiste photographe utilise la pellicule argentique classique, sans retouche ni manipulation numérique. Il travaille sur l'instant et l'instinct.
Dans l'esprit de l'art pictural contemporain, il utilise la technique de la surimpression pour donner un sens multiple, suggérant différents niveaux de lecture. Il crée une image qui s'inscrit dans le temps et dans l'espace, exprime un sens nouveau, une référence, un repère plus intemporel.
Le Surimpressionnisme, communication par l'image, devient pour lui, dès lors, un moyen d'expression, de partage, de dialogue, de culture marquant l’attention, accrochant le regard, et exprimant son art.